L’Art de se Dire Vraiment les Choses !
Cercle de Femmes à Toulouse (et ailleurs).
Temps de lecture : 35 min
Si tu n'as pas le temps de lire, je t'ai fais un résumé tout en bas.
La charge mentale, la fatigue émotionnelle, le tourbillon du quotidien…
Vous connaissez sans doute cette sensation d’avoir mille choses en tête dès le réveil. Penser à sortir les poubelles, faire les courses, le repas du soir, finir ce mail urgent, trouver un cadeau pour l’anniversaire du petit dernier… et, accessoirement, respirer un bon coup sans culpabiliser.
Bienvenue dans la vie moderne, version femme.
Dans ce rythme effréné, la charge mentale n’est pas un concept abstrait. C’est ce poids invisible que l’on porte, souvent sans en parler. Et le pire, c’est que l’on finit par croire que c’est “normal”. Alors on avance, on assure, mais on s’épuise… en silence.
C’est précisément là que les cercles de femmes trouvent tout leur sens. Non, il ne s’agit pas d’une réunion mystique sous la pleine lune avec incantations et robes blanches (même si parfois, cela peut être joyeux et léger).
C’est surtout un espace bienveillant, un lieu où l’on peut déposer ce que l’on ne confie à personne, se reconnecter à soi, se sentir véritablement entendue.
Que vous cherchiez un cercle de femmes à Toulouse, à Colomiers, en ligne, ou simplement un espace pour souffler et ne plus se sentir seule, vous allez vous régaller en lisant cet article.
On va parler vrai. De vous, de nous. Du besoin de respirer, de se retrouver, de dire les choses. Et surtout, de la manière dont un simple cercle de parole entre femmes peut parfois tout changer.
Soyons honnêtes quelques instants : n’avez-vous jamais eu l’impression d’être une to-do list vivante. Entre les enfants, le travail, les repas, les proches à appeler, les mails non lus, et ce fameux “il ne faut surtout pas oublier de…”, nombreuses sont celles qui portent un poids invisible. Un poids qui ne se voit pas et qui épuise.
On appelle cela la charge mentale. Ce n’est pas un mythe. C’est ce mode « cerveau en feu » qui tourne en permanence.
On pense à tout pour tout le monde. Et soi, dans tout cela ? Souvent, on est en bas de sa propre liste de priorités, voire même absente de cette liste.
C’est là que ça coince. Parce qu’à force de faire pour les autres, on finit par s’oublier. Peu à peu, on s’éteint. On n’écoute plus ses émotions. On ne sait même plus ce que l’on ressent.
C’est ce genre de spirale silencieuse qui nous pousse à nous demander : “Pourquoi est-ce que je me sens vide alors que j’ai tout ?”
Et puis il y a cette solitude, pas celle qu’on ressent quand on est physiquement seule, non. Celle qui s’installe même entourée, quand on sent qu’on ne peut pas tout dire, tout lâcher. Parce qu’il faut “rester forte”, parce qu’on a peur de déranger, ou parce qu’on ne sait plus comment mettre des mots sur ce que l’on traverse.
Vous voyez où je veux en venir ? C’est exactement ce que les groupes de parole pour femmes, comme les cercles de femmes, peuvent alléger. Ce n’est pas une solution miraculeuse, mais un début de voie. Un sas de décompression. Un endroit où déposer sans avoir à justifier, sans avoir à performer.
Petit moment de douceur :
Prenez deux minutes maintenant, posez votre téléphone, fermez les yeux.
Scannez votre corps.
Que ressentez-vous ? Fatigue ? Agitation ? Pression dans la poitrine ? Vide ?
Notez-le quelque part, juste pour vous. Ce sera déjà un premier pas vers cet allègement intérieur.
Vous n’avez pas à tout porter seule. Et surtout… vous n’êtes pas seule, vraiment.
Connaissez-vous ce moment où quelqu’un vous demande “ça va ?” et où vous répondez machinalement “oui, et vous ?” alors qu’en réalité, vous auriez juste envie de pleurer sous un plaid avec du chocolat et/ou des chips et de couper votre téléphone pendant plusieurs jours ?
Beaucoup d’entre nous ont oublié ce que c’est que de disposer d’un espace où l’on peut dire ce que l’on ressent… pour de vrai. Sans recevoir des conseils non sollicités. Pas pour faire joli, pas pour rassurer l’autre, mais parce que c’est là, que ça déborde, et qu’on ne peut plus tout garder à l’intérieur.
Ce manque d’écoute authentique finit par causer des dégâts.
On se compare aux autres (“elle gère tout, pourquoi pas moi ?”), on refoule ses émotions, on se crée un masque social pour paraître en ordre.
Mais à l’intérieur, ça cogne fort : culpabilité, épuisement, sentiment d’être seule à souffrir, incomprise.
On croit devoir rester “solide”. Et puis un jour, tout craque.
Comme, par exemple, cette cliente brillante, drôle, toujours là pour les autres, qui m’a confié en séance :
“Je crois que personne ne sait que je pleure dans ma voiture, entre deux rendez-vous.”
C’est pour cela que les cercles de parole féminins existent.
Pour déposer. Sans peur. Sans avoir à faire bonne figure. Juste pour être écoutée, sans conseil, sans jugement.
Il ne s’agit pas de se plaindre en boucle ni de partir dans un délire ésotérico-gourou.
Même dans un cercle de femmes spirituel, l’essentiel reste la simplicité : créer un espace sacré du quotidien, un moment suspendu où la parole circule en toute sécurité.
Confidences d’une hypnologue :
Moi aussi, j’ai eu besoin, déposer mon masque. Ce n'est pas pour rien que je facilite ces espaces de Cercles de Femmes aujourd'hui.
D’oser dire “je n’en peux plus” sans que l’on cherche aussitôt à me proposer une solution, un thé détox ou une application de méditation.
Juste être là, écoutée, soutenue, humaine parmi d’autres humaines.
Croyez-moi, cela transforme.
Alors, si vous ressentez ce petit frisson en lisant ces lignes, c’est peut-être que votre espace sacré vous attend quelque part. En présentiel ou en ligne, un cercle de femmes est prêt à vous accueillir… sans filtre, sans masque. Juste vous.
Mais concrètement, qu’est-ce qu’un cercle de femmes ?
Spoiler : ce n’est pas réservé aux fans de tambours ni aux initiées du féminin sacré. Et non, il n’est pas nécessaire d’avoir lu trois livres sur les phases lunaires pour y participer.
Un cercle de femmes est avant tout un espace sécurisant et bienveillant où l’on se retrouve entre femmes pour partager, écouter, parfois pleurer, souvent rire, et surtout… se reconnecter à soi.
Il peut être en ligne ou en présentiel (à Toulouse, Colomiers, Paris ou ailleurs en France), gratuit ou à participation libre, ouvert à toutes, peu importe l’âge ou le parcours.
Aucune obligation de prendre la parole. On peut simplement être là, respirer, écouter, s’inspirer.
Que fait-on dans un cercle ?
On commence souvent par une mise en présence : quelques respirations conscientes, une méditation guidée, un petit rituel simple.
Puis vient le temps de parole : chacune s’exprime librement, sans interruption ni jugement. Pas de débat, pas de conseils. Juste une écoute profonde, silencieuse, respectueuse.
On parle de ce qui nous traverse, de ce qu’on n’ose pas dire ailleurs. De nos joies, nos peurs, notre fatigue, nos doutes, notre puissance aussi.
Comme cette femme qui disait :
“Ce que j’ai osé dire dans un cercle, je ne l’avais jamais dit à personne : j’avais l’impression de ne plus exister en tant que femme. Et savez-vous quoi ? Personne ne m’a jugée. Elles ont simplement hoché la tête. Parce qu’elles savaient.”
Voilà la magie d’un cercle de femmes : ce miroir puissant qu’on trouve chez l’autre. Cette sororité silencieuse qui fait du bien, sans besoin d’explication.
Les principes clés :
Confidentialité (tout ce qui se dit dans le cercle reste dans le cercle)
Non-jugement (on est accueillie telle que l’on est)
Écoute profonde (pas de conseils non sollicités)
Présence (on prend le temps d’être là, vraiment)
Un moment d'introspection :
Ecrivez-vous une lettre, comme si vous étiez dans un cercle.
Commencez par “Aujourd’hui, j’ai juste envie de dire que…” Vous verrez, les mots viennent. Parfois, c’est plus puissant que n’importe quel conseil.
Ce lieu « pas comme les autres », c’est peut-être ce qu’il vous manque pour vous reconnecter à votre vérité intérieure, en toute simplicité, sans jugement.
Et si vous pensez “ce serait trop bien, mais je ne sais pas si j’oserais”… c’est peut-être justement le signe que vous êtes prête.
Vous connaissez ce moment où, pour la première fois depuis longtemps, vous vous surprenez à respirer profondément ?
Comme si votre corps vous disait : « Enfin, vous m’écoutez. »
C’est souvent ce qui se produit après un cercle. Ce n’est pas spectaculaire. C’est discret. Intime. Mais c’est un bien-être immense.
Parce que lorsque vous déposez ce que vous retenez depuis trop longtemps, quand vous osez dire « je ne vais pas bien » sans que personne ne cherche à vous réparer, quelque chose en vous se réaligne.
Et cette connexion perdue avec vous-même revient doucement.
C’est cela, la spiritualité vécue dans un cercle de femmes : non pas une croyance extérieure, mais une reconnexion intérieure. Authentique. Simple. Vivante.
Ce que les femmes témoignent après un cercle :
« J’ai pleuré devant d’autres femmes… et je ne me suis jamais sentie aussi forte. »
« Je me sens moins seule, même en rentrant chez moi. »
« J’ai arrêté de me juger pour ressentir. »
Lorsqu’on trouve un groupe de femmes bienveillant, on touche du doigt ce sentiment d’appartenance que nous cherchons toutes, quelque part.
Il n’est pas nécessaire de partager les mêmes opinions, ni les mêmes parcours. Il suffit d’avoir ce même besoin de vérité, de lien, d’humanité.
Et puis il y a cette magie : le miroir que l’autre vous offre simplement en partageant son vécu.
Ce moment où vous écoutez une femme parler… et que vous vous dites :
« C’est incroyable, on ne se connaît pas, et pourtant elle met des mots sur ce que je n’arrivais même pas à formuler. »
Histoire fictive – Elle avait juste besoin d’être entendue…
Elle s’appelait Claire, 41 ans, mère de trois enfants, cadre supérieure. Tout semblait aller bien, « sur le papier » (Identité fictive, je le rappelle).
Mais un jour, dans un cercle, elle a simplement dit :
« J’ai l’impression d’être une passagère dans ma propre vie. »
Silence. Puis les larmes. Et cette vague d’amour discret qui a traversé le cercle.
À la fin, elle m’a regardée et a soufflé :
« Je crois que c’est la première fois que je me sens vue… vraiment. »
Ce jour-là, Claire a commencé à renaître. Et tout est parti d’une parole déposée.
Un cercle de femmes n’est pas qu’un simple moment entre parenthèses. C’est parfois le commencement d’un chemin. Vers vous-même, vers les autres, vers une manière de vivre plus juste et plus douce.
Et cela, ce n’est pas anodin. C’est précieux. C’est profond. Et vous y avez droit, vous aussi.
Vous vous demandez sûrement : « Mais finalement, où trouver ce fameux cercle de femmes autour de moi ? Faut-il être une yogi mystique ou une sorcière pour participer ? Et comment cela se passe-t-il ? »
Bonne nouvelle : non, il n’est pas nécessaire d’être un modèle de spiritualité ni d’avoir un rituel compliqué à apprendre. Que vous soyez à Toulouse, Colomiers ou ailleurs en France, il existe des cercles de femmes accessibles, et à des tarifs abordables parfois même gratuits. Et si vous n’avez pas le temps ou la possibilité de sortir, vous pouvez également rejoindre un cercle de femmes en ligne, depuis votre canapé, en toute simplicité.
Que ce soit des cercles de femmes à Paris, à Toulouse ou ailleurs. Cela se démocratise et il y en a partout en France.
J’organise régulièrement des cercles de femmes à Colomiers dans un cadre doux, sécurisant et chaleureux.
Des moments où vous pouvez enfin poser votre masque, déposer votre charge mentale, et simplement être vous-même.
Nous nous retrouvons en petit groupe, à taille humaine, pour :
Des échanges authentiques, sans jugement
Des partages de ressentis et d’expériences, avec une écoute profonde
Des rencontres simples pour se recentrer et se régénérer
Une ambiance conviviale et pleine d’humour
Pour qui ? Et pour qui ce n’est pas…
Ces cercles s’adressent à toutes les femmes qui souhaitent :
Se libérer du poids de la charge mentale
Retrouver un espace de parole vrai et sincère
Se reconnecter à leur force intérieure
Vivre une expérience de sororité authentique
Ce n’est pas un espace pour celles qui recherchent un coaching intensif et donner des conseils. Ici, on met les masques de côté et on ose la vulnérabilité, à petits pas.
Comment cela se passe-t-il en ligne ?
Les cercles en ligne fonctionnent sur le même principe : un petit groupe, un espace confidentiel, des échanges sincères.
Le plus ? Vous pouvez participer sans bouger de chez vous, parfois même en pyjama (promis, aucun jugement).
Une belle option pour celles qui ont un emploi du temps chargé ou qui habitent loin de Toulouse.
Ou qu'il soit, le cercle vous attend pour vous reconnecter à vous-même et aux autres. Parce que vous le méritez.
Participer à un cercle de femmes n’est pas seulement cocher une case « développement personnel » sur votre to-do list. C’est une pause sacrée dans le bruit du quotidien. C’est choisir de ralentir, de vous reconnecter à vous, et de laisser tomber les masques.
Dans ces cercles, on ne vous demande pas d’être parfaite. Ni forte. Ni prête.
On vous demande simplement d’être là. Comme vous êtes. Et croyez-moi, c’est déjà énorme.
Que vous soyez à la recherche d’un groupe de femmes bienveillant, d’un cercle de femmes en ligne ou d’un espace de parole féminin à Toulouse, ce lieu existe et vous pourrez vous exprimer librement, en toute sécurité.
Parce que vous n’avez rien à prouver. Juste à être vous-même. Et cela, c’est le plus beau des cadeaux.
Alors, vous vous autorisez à dire « stop » ? À poser vos bagages ? À respirer, là, maintenant ?
Votre écosystème intérieur vous dira merci. Et peut-être, pour la première fois depuis longtemps, vous vous sentirez entendue… et profondément vivante.
A bientôt,
Céline Renou, Hypnologue à Colomiers près de Toulouse
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On connaît toutes ce poids invisible qui nous tire vers le bas : la charge mentale. Ce millefeuille de choses à penser, à gérer, à anticiper, du matin au soir. Et souvent, on oublie de penser à nous. On finit par être épuisées, vidées, sans vraiment savoir pourquoi, même quand tout semble “aller bien”. On porte tout, seule, en silence, parce que c’est comme ça, non ? Mais ce n’est pas normal.
Alors, il y a ces cercles de femmes. Pas des rituels compliqués, juste un espace où on peut déposer nos masques, nos doutes, nos larmes. Un lieu où on se sent enfin écoutées, sans jugement, sans devoir “faire bonne figure”. Là, on peut dire “je suis fatiguée”, “j’ai peur”, “je n’en peux plus” — et être accueillies avec douceur.
On y trouve une écoute qui fait du bien, un miroir qui nous renvoie qu’on n’est pas seules.
On mérite toutes ça.
Alors, on se donne la chance de souffler, de se reconnecter à soi, ensemble ?
« J’ai pleuré devant d’autres femmes… et je ne me suis jamais sentie aussi forte. »
« Je me sens moins seule, même en rentrant chez moi. »
« J’ai arrêté de me juger pour ressentir. »
Un moment d'introspection :
Ecrivez-vous une lettre, comme si vous étiez dans un cercle.
Commencez par “Aujourd’hui, j’ai juste envie de dire que…” Vous verrez, les mots viennent. Parfois, c’est plus puissant que n’importe quel conseil.
A bientôt,
Céline Renou
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Accessibilité depuis Toulouse :
Bus : Ligne 2 et Ligne 25 – Arrêt: Bascule Seycheron, Colomiers.
Train : Gare de Colomiers sur la ligne Toulouse/Auch.
Voiture: Places de parking devant le cabinet ou rue des sports, Colomiers.
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